…Nous semblons oublier que, aussi pénible qu’il fut; le passage à l’usine représentait pour beaucoup d’ouvriers de l’époque, même des femmes et des enfants, une véritable libération par rapport aux conditions de vie infernales qui étaient le lot des journaliers agricoles ou des travailleurs à domicile de la période préindustirelle dont aujourd’hui nous idéalisons la situation, avec nos yeux d’hommes du XXème siècle (sans parler des immigrants irlandais échappant à la grande famine).